Nous présentons une innovation majeure dans la culture de la laitue iceberg : de nouvelles variétés offrant une protection complète – résistance totale à Bremia (Nr:0) et résistance intermédiaire (RI) à Nasonovia (Nr:1). Le biotype Nr:1 du puceron Nasonovia représente une menace importante pour les producteurs de laitue en Europe. Face à la perte d’efficacité des traitements chimiques et à la montée des résistances, les producteurs disposent de moins en moins d’options.
Avec la résistance à Nasonovia Nr:1, la protection commence de l'intérieur. Nos variétés résistantes à Nasonovia Nr:1 (IR) sont très faciles à repérer : un seul coup d'œil suffit !
Cherchez simplement l'étiquette de résistance à Nasonovia que vous voyez ici.
Nasonovia ribisnigri, communément appelé puceron de la laitue, est un ravageur majeur qui affecte les cultures de laitue à l'échelle mondiale. Il endommage les plants en prélevant leur sève et en leur transmettant des virus, ce qui entraîne des déformations des feuilles, un retard de croissance, une baisse des rendements et le refus des détaillants. Sa reproduction rapide rend les méthodes de lutte traditionnelles moins efficaces et les restrictions de l'UE sur la gestion chimique des ravageurs limitent les moyens dont disposent les producteurs pour lutter contre ce fléau.
La réglementation européenne réduit progressivement les traitements chimiques, incitant les producteurs à privilégier la lutte intégrée et la lutte biologique. La tolérance stricte des distributeurs envers les pucerons exerce une forte pression, surtout sur les marchés où l'aspect visuel est essentiel.
Nous lançons de nouvelles variétés d’iceberg avec une résistance intermédiaire à NR:1. Associées à d'autres outils comme les solutions phytosanitaires, elles offrent un atout précieux contre Nasonovia. Nos variétés intègrent aussi notre système de résistance le plus complet : Bremia (Bl:29-41) et HR:NR:0.
Notre objectif : garantir aux producteurs que leurs récoltes répondent aux exigences des distributeurs et transformateurs, malgré le durcissement des conditions de tolérance aux pucerons.
Durée de conservation prolongée
Qualité supérieure
Des produits plus sains
Des légumes plus propres
Moins de refus de la part des détaillants et des industriels
Moins de pesticides
Coûts des intrants réduits